Un plaisir retrouvé
Il y a de cela presque 20 ans, je m'y suis mise puisque c'était un incontournable pour le développement d'affaires. Je n'ai jamais été douée et je doute le devenir. Je veux bien m'améliorer, mais je me tiens loin de la performance. Ma vie professionnelle m'y astreint déjà. Alors quand je suis sur les verts, j'oublie. Je suis à des années-lumière de mes préoccupations, concentrée à avoir la bonne position, à garder ma tête sur la balle, à ne pas me redresser en la frappant et à donner du leste à mon mouvement de balancier. C'est beau sur papier... sur le terrain c'est toute autre chose.
Hier, malgré la journée magnifique, j'ai passé le premier neuf trous à entretenir mes démons intérieurs. Rien à faire, je ne retrouvais pas ma position pour frapper. Non,je ne lance pas mes bâtons, je me lance des qualificatifs pas très gentils. Puis, j'ai choisi de me centrer sur ce qui avait tout de même bien fonctionné. Hier, j'étais meilleure sur le rouler. Mon deuxième neuf a été moins chaotique. Je suis au golf comme dans la vie,tout en retenue. C'est un excellent exercice pour lâcher prise. Ce n'est pas tant le résultat qui compte, que le chemin parcourut.
Pour ce qui est du chemin, je viens de le retrouver après l'avoir déserté plus de dix ans. Le résultat viendra certainement avec quelques leçons et plus de parties. J'ai un compagnon agréable avec qui partager ce plaisir. C'est un homme... la performance fait partie de sa génétique. Il travaille à demeurer zen même si sa balle affectionne les bois. Je ne peux pas dire que le golf est une passion. C'est plutôt un passe-temps, un passe-temps plaisant si j'en crois toutes les photos que j'ai retrouvées de moi au fil des ans. J'y apparais souriante en compagnie des membres de mes quatuors. Pas un sourire cliché, le golf ayant toujours été une occasion de côtoyer ceux que j'aime. Je crois bien que si un photographe passait chez moi ce matin,j'afficherais le même sourire.
Hier, malgré la journée magnifique, j'ai passé le premier neuf trous à entretenir mes démons intérieurs. Rien à faire, je ne retrouvais pas ma position pour frapper. Non,je ne lance pas mes bâtons, je me lance des qualificatifs pas très gentils. Puis, j'ai choisi de me centrer sur ce qui avait tout de même bien fonctionné. Hier, j'étais meilleure sur le rouler. Mon deuxième neuf a été moins chaotique. Je suis au golf comme dans la vie,tout en retenue. C'est un excellent exercice pour lâcher prise. Ce n'est pas tant le résultat qui compte, que le chemin parcourut.
Pour ce qui est du chemin, je viens de le retrouver après l'avoir déserté plus de dix ans. Le résultat viendra certainement avec quelques leçons et plus de parties. J'ai un compagnon agréable avec qui partager ce plaisir. C'est un homme... la performance fait partie de sa génétique. Il travaille à demeurer zen même si sa balle affectionne les bois. Je ne peux pas dire que le golf est une passion. C'est plutôt un passe-temps, un passe-temps plaisant si j'en crois toutes les photos que j'ai retrouvées de moi au fil des ans. J'y apparais souriante en compagnie des membres de mes quatuors. Pas un sourire cliché, le golf ayant toujours été une occasion de côtoyer ceux que j'aime. Je crois bien que si un photographe passait chez moi ce matin,j'afficherais le même sourire.
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